Ouvrir un livre de Bussi, c’est être absorbé par sa lecture dès les premières pages. Et très vite, on a envie d’en savoir plus. Généralement, j’ai du mal à me détacher de ma lecture avec cet auteur. J’ai mis d’ailleurs seulement 2 jours à lire ce livre malgré l’épaisseur du livre. Pour parler spécifiquement de ce livre, le prologue est très mystérieux et tout au long de ma lecture, j’ai essayé de deviner la fin. J’ai été surprise comme à chaque lecture de cet auteur. Mais pas dans le bon sens… Et c’est là encore un point commun que j’ai avec pas mal de romans avec Bussi, la fin est souvent décevante avec Bussi. Mais pour le coup, au fil de la lecture, je me suis doutée qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas puisque l’enquête censée être menée par les enquêteurs n’avançaient pas beaucoup. Je ne dirai rien sur cette fin pour ne pas spoiler.

Je pense sincèrement que Bussi est un excellent écrivain, même si parfois les dialogues manquent de crédibilité. Il a un don certain pour raconter des histoires qui sortent de l’ordinaire et qui sont très prenantes. J’ai un autre roman de cet auteur en attente dans ma PAL. Je le lirai quand je voudrais faire une pause entre 2 pavés, pour me faire une lecture « plaisir ». Je suis sûre de passer un bon moment et ça c’est un autre point commun que j’ai avec cet auteur.

Je finirai cette critique en soulignant le fait que Bussi fait honneur à Giverny avec une vaste description de cette commune. Je n’habite pas loin et je n’ai pas eu le plaisir de m’y rendre à ce jour. Les bus de touristes évoqués dans le livre donnent moins envie mais avec ce livre, mon envie d’y aller a redoublé. En attendant qu’on puisse à nouveau y aller, notamment pour aller voir la maison de Monet.

Ma note : 2/5