Note : 4/5
Pages : 128
Éditions : Poche
4ème de couverture :
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un de ses clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée…
Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimé chez la fugitive.
Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d' »Amok » et du « Joueur d’échecs », est une de ses plus incontestables réussites.
Ma critique :
Coup de coeur pour ce livre !
Une femme tombe amoureuse d’un homme avec qui elle n’a même pas parlé, le regardant jouer dans une salle de jeu. C’est un véritable coup de foudre. Pendant 24 heures, cette femme va passer par pas mal d’émotions et du même coup, le lecteur aussi. En si peu de pages, on est bouleversé. Dommage pour la scène un poil trop long au casino…

2 réflexions sur “Vingt-quatre heures de la vie d’une femme de Stefan Zweig”